Quand les célèbres vergers d’orangers de Jaffa ont participé à la bonne réputation de nos voisins dans le monde entier, que des millions de consommateurs apprécient leurs fruits pour leur peau épaisse et leur chair juteuse et que chaque orange est soigneusement enveloppée dans du papier de soie pour la préserver pendant le voyage, les oranges du Liban
” proudly produced in Lebanon” qui n’ont rien à leur envier sur le plan de la qualité, sont elles, généreusement fourrées au Captagon et rendues invendables
L’accord de Mar Mikhael, une union contre nature entre des orangers et une milice étrangère ne pouvait que produire des fruits empoisonnés.
La fin justifiant les moyens ,tout est bon pour détruire le Liban. Parce qu’il s’agit ,sciemment de nuire à la réputation de nos agriculteurs qui ne pourront plus exporter leur produits, principale source de revenus. Endettés et appauvris les propriétaires terriens seront à terme obligés de vendre leurs terrains pour une bouchée de pain aux mafieux qui se seront enrichis à leur dépends. Car un simple calcul nous permet de prévoir un gain de plus de 45 millions de dollars pour uniquement une cargaison de 9 million de pilules fabriquées dans des dépôts de fortune insalubres. Un remplacement de population insidieux est en cours.
La guerre déclenchée par un certain général en 1988 n’a pratiquement connu aucun cessez-le-feu ,prenant des formes tantôt militaires tantôt politiques. Une guerre qui aura fait en 30 ans des centaines de milliers de victimes, car ceux qu’on n’aura pas réussi à tuer dans le sang, on aura tué leur âme en les forçant à partir.
Cerise sur le gâteau, on notera au passage que les oranges fourrées n’empruntent pas n’importent quelles voies et ne semblent pas être destinées aux pays sacrés de la moumena3a.
Les objectifs sont donc plutôt clairs: les acheminer vers une population ennemie afin de saper les jeunes générations, trésor national et principale richesse de tout pays qui se respecte.